Anita Blake, tome 11 Péchés céruléens de Laurell K. Hamilton

Synopsis : Anita Blake, tome 11 Péchés céruléens de Laurell K. Hamilton

Une aventure d’Anita Blake, tueuse de vampires. Autrefois, j’étais l’ennemie jurée des vampires, mon nom suffisait à les faire trembler. Aujourd’hui, je suis la maîtresse de Jean-Claude, le Maître de la Ville, et celle de Micah, le léopard-garou. Je suis dévorée par les appétits vampiriques et la faim primitive des métamorphes ! Ma vie amoureuse est devenue un peu compliquée… Mais pour l’heure,  Jean-Claude a besoin de moi. La créatrice de sa lignée a envoyé à Saint Louis une de ses servantes les plus puissantes et les plus cruelles. Tout le monde la craint, mais je ne vais pas me laisser faire. Pour sauver ceux que j’aime, je suis prête à aller très loin…

Chronique : Anita Blake, tome 11 Péchés céruléens de Laurell K. Hamilton

Cette fois Anita va devoir se confronter à Belle Morte, qui n’est autre que la source de la lignée de Jean Claude et à ses envoyés.

En parallèle, elle va devoir continuer à apprendre à vivre avec l’ardeur et ses nombreuses conséquences…

Mais le problème principal d’Anita dans ce tome n’en reste pas moins Belle Morte, ses envoyés et ses manigances pour se réapproprier Jean Claude et Asher. L’occasion d’ailleurs ici d’en apprendre plus sur le passé de ce cher Jean Claude…

Pour couronner le tout, Anita va tomber par accident sur la Reine de toutes les ténèbres : la Reine de tous les vampires mi-endormie -mi-réveillée.

Et tout cela en parallèle à une nouvelle enquête avec cette fois au menu : un violeur et tueur lycanthrope.

Anita comme à son habitude, ne chôme pas…

Un tome comme toujours rempli d’intrigues, d’action, de désir et de personnages hauts en couleur…

Extraits choisis :

« J’aime l’éclat de tes cheveux dans la lumière. J’aime ton sourire quand tu n’ essaies ni de te cacher ni d’impressionner les autres. J’aime t’entendre rire. J’aime ta voix qui exprime si bien le chagrin et qui a un goût de pluie. J’aime la façon dont tu regardes Jean Claude quand il traverse une pièce et que tu penses que personne ne te voit faire, parce que c’est exactement la façon dont je le regarde aussi. J’aime tes yeux. J’aime ta douleur. Je t’aime. « 

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