Synopsis : Rebecca Kean – Tome 7 : Amberath de Cassandra O’Donnell

« Je suis d’une nature profondément optimiste, la preuve : ma meilleure amie s’apprête à donner naissance à “Damien, le fils du diable” ? Je me dis pas grave, tant qu’il naît sans cornes et sans odeur de soufre, on devrait pouvoir gérer. Mon petit ami me ment depuis des années ? Pas de problème, je décide de retourner chez moi et de m’y construire une vie meilleure… Bref, je reste positive. Du moins, c’était le cas jusqu’à maintenant. Parce que, pour la première fois de ma vie, j’ai beau chercher, je ne vois vraiment pas comment je vais pouvoir m’en tirer… »

Chronique : Rébecca Kean – Tome 7 : Amberath de Cassandra O’Donnell

Tiraillée entre ses responsabilités de Reine des Vikaris et Assayim pour le Directum du Vermont, Rébecca doit choisir.

Alors qu’elle se trouve tiraillée par ce cruel dilemme, surgit une autre mission qui la replace immédiatement dans sa réalité quotidienne et vient reléguer tous ses questionnements à plus tard.

À la fois en conflit avec Raphaël, de plus en plus en fusion avec Bruce et embourbée dans de nombreux liens métaphysiques, Rébecca se sent un peu perdue sur le plan sentimental.

Dans ce tome palpitant elle s’interroge à la fois sur ses relations, mais aussi sur les énigmes qui se succèdent toujours plus mystérieuses et sources d’étonnantes révélations.

De nouvelles infos nous sont données sur Bruce, notre loup des steppes, mais également sur les fées et bien d’autres choses…

De nouveau un tome rempli d’émotions, d’actions avec un combat en particulier d’un tout autre niveau cette fois pour Rébecca qui devra y faire face, comme toujours….

Une suite est prévue, il faut désormais attendre patiemment sa sortie …

Extraits choisis :

  » Elle trouvait visiblement Ali à son goût et je me voyais mal lui en faire le reproche. Avec ses cheveux bruns tombant sur ses épaules, ses yeux gris tempête, sa peau mate, son visage aux traits à la fois fins et virils, son torse large, son corps mince et musclé, il avait l’un des physiques les plus spectaculaires qu’il m’ait été donné de contempler. »

 » Des ombres bougent autour d’elle. Elles parlent  mais elle ne comprend pas leur langage. Elle grogne et les chasse tandis que la bête guerrière redouble l’intensité de ses assauts. Le pouvoir les submerge. La bête rugit dans un orgasme immense, incandescent tandis qu’elle explose, devient matière puis nuée sombre semée d’étoiles… ».

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