Anita Blake, Tome 2  Le cadavre rieur de Laurell K. Hamilton

Synopsis : Anita Blake, Tome 2 Le cadavre rieur de Laurell K. Hamilton

«Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires…

Chronique : Anita Blake, Tome 2 Le cadavre rieur de Laurell K. Hamilton

Cette fois, nous retrouvons Anita au coeur même de son travail de réanimatrice.

Tiraillée entre ses clients et une nouvelle enquête de police sur laquelle elle collabore, elle ne chôme pas. Entre zombies et vampires, elle n’a, comme toujours, pas un instant à elle….

Peu à peu, elle se rapproche de Jean Claude, le maitre de la ville. Entre méfiance et attraction, demande et menace, ces deux-là sont pris dans un jeu de tentation, dont ils n’ont pas réellement conscience.

En parallèle, son enquête est une vraie énigme pour Anita, et pour couronner le tout, dans l’ombre, rôdent de nombreux ennemis qui souhaitent l’asservir ou la voir disparaitre.

Anita ne connait pas l’étendue de sa puissance, mais heureusement elle trouve toujours le moyen de s’en sortir… Mais  ce qu’elle va vivre va lui en apprendre un peu plus sur elle-même et sur ses capacités.

Et face à un Jean Claude de plus en plus entreprenant, elle en aura bien besoin….

Extraits choisis :

 » Jean Claude m’envoya une douzaine de roses blanches pendant mon séjour à l’hôpital.  » Accompagne-moi à l’opéra », disait la carte qui accompagnait le bouquet. « Pas comme servante, comme invitée ». Je ne répondis pas. J’avais assez de problèmes sans flirter avec le maître de la ville »

 » Lorsque l’un de nous passe l’arme à gauche, nous venons tous assister à ses funérailles. C’est la règle, et il n’y a pas d’exceptions.Sauf si on est soi-même mort. Encore que, avec notre activité professionnelle… »

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