Anita Blake, Tome 6 Mortelle Séduction de Laurell K. Hamilton

Synopsis : Anita Blake, Tome 6 Mortelle Séduction de Laurell K. Hamilton

À ma gauche, Richard. Le mec le plus adorable du monde : brun aux yeux chocolat, prof de sciences. Seul problème : une fois par mois, il se couvre de poils et hurle à la lune. À ma droite, Jean-Claude. Le mec le plus horripilant du monde : un regard hypnotique, et un magnétisme sexuel démentiel. Seul problème : il a plus de deux siècles. Face à moi, un immortel atteint par une mystérieuse maladie qui le liquéfie sur pattes. Et quelque part derrière moi, un assassin à qui un commanditaire inconnu a promis un demi-million de dollars s’il réussissait à m’abattre dans les vingt-quatre heures. Que dit la sagesse populaire déjà ? « Il vaut mieux être seule que… »

Chronique : Anita Blake, Tome 6 Mortelle Séduction de Laurell K. Hamilton

Alors qu’Anita notre héroïne est plongée dans une triangulation amoureuse avec Jean Claude et richard, elle apprend qu’un contrat a été mis sur sa tête.

Son objectif prioritaire est désormais : éviter les balles et tuer les hommes qui la poursuivent avant qu’ils ne la tuent…

Dans cette nouvelle aventure, Anita va pouvoir compter sur son ami Edward, sans oublier ses 2 prétendants attitrés.

Leur rivalité va monter d’un cran dans ce tome devant toutes les ambiguïtés et contradictions d’Anita, mais aussi leur ardent désir de protection.

Un tome remplit d’action et e rebondissements ou la romance a une place de 1er plan.

Le tout avec le style de l’auteur dont les dialogues sont toujours aussi vivants et addictifs…

Je suis toujours aussi Fan…

Extraits choisis :

 » Je percevais son désir, et ce n’était pas seulement une question de sexe, mais pour la première fois, je comprenais que ça n’était pas seulement une question de sang non plus. C’était moi tout entière. il voulait se réchauffer dans mon corps comme des mains  à une flamme, s’imprégner de ma tiédeur, de ma vie. Je sentais son immobilité, un calme d’une profondeur qu’aucun être vivant ne pouvait mesurer, comme une mare d’eau stagnante dissimulée par l’obscurité  » « 

 » Il fut un temps où tu aurais pu prendre mon coeur avec un pieu ou une balle. ( Il saisit ma main et la porta à ses lèvres). Aujourd’hui, tu l’as pris avec ces mains délicates et avec le parfum de ton corps.  « .

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